Les Cigares du pharaon (ou Les Aventures de Tintin, reporter, en Orient) est le quatrième album de bande dessinée des aventures de Tintin, prépublié en noir et blanc du 8 décembre 1932 au 1er février 1934 dans les pages du Petit Vingtième, supplément du journal Le Vingtième Siècle. La version couleur de l'album est parue en 1955.
Tintin est en croisière à destination de l'Extrême-Orient. À bord, il rencontre un égyptologue farfelu, Philémon Siclone, à la recherche du tombeau du pharaon Kih-Oskh. Tintin devient bientôt la cible d'un homme mystérieux, qui cherche à se débarrasser de lui en faisant croire à la police qu'il transporte de la cocaïne avec lui. Tintin est arrêté par deux agents de la sûreté, X33 et X33 bis (alias Dupond et Dupont), qui le retiennent prisonnier, avec Milou, à bord du paquebot. Alors que le bateau fait une escale à Port-Saïd en Égypte, Tintin et Milou s'évadent, et ils retrouvent peu après Philémon Siclone. Tintin accepte de l'accompagner au Caire dans son expédition à la recherche du tombeau de Kih-Oskh. Dans le tombeau, Tintin et Milou découvrent de mystérieux cigares, mais sont enlevés…
Abandonnés en mer, ils sont sauvés et débarquent en Arabie, où ils sont toujours recherchés par les Dupondt. De là, après plusieurs péripéties, ils arrivent en Inde chez le maharadjah de Rawajpoutalah. Ils s'attaquent alors au trafic d'opium et démantèlent en partie un gang de trafiquants. Tintin affronte entre autres un de ses membres les plus dangereux en la personne d'un fakir hypnotiseur. Finalement, Tintin découvre que les cigares contenaient l'opium en question. Mais l'identité du chef du gang (autrement dit, l'homme qui a essayé de faire croire qu'il transportait de la cocaïne avec lui sur le paquebot) lui est toujours inconnue...
jeudi 3 mars 2011
Tintin en Amerique
Tintin en Amérique (initialement Les aventures de Tintin, reporter du « Petit Vingtième », en Amérique) est le troisième album de bande dessinée des aventures de Tintin, prépublié en noir et blanc du 3 septembre 1931 au 20 octobre 1932 dans les pages du Petit Vingtième, supplément du journal Le Vingtième Siècle. La version couleur et actuelle de l'album est parue en 1946.
L’histoire se passe aux États-Unis à l’époque de la Prohibition. Tintin arrivé à Chicago juste après son voyage au Congo où il avait démantelé un trafic de diamants organisé par Al Capone. Tintin est enlevé par ce dernier dès son arrivée.
Après avoir réussi à s’échapper et à les arrêter, il s’attaque à Bobby Smiles, le chef d’une bande rivale. La poursuite amène Tintin chez les « Peaux-Rouges » que Bobby Smiles a montés contre lui. Toujours vainqueur, Tintin capture le criminel et revient à Chicago. Il doit ensuite affronter un mafioso qui désire lancer sa tentative d’enlèvement. Lui aussi sera arrêté et Tintin quitte le pays après un défilé dans la rue bien digne des héros américains.
L’histoire se passe aux États-Unis à l’époque de la Prohibition. Tintin arrivé à Chicago juste après son voyage au Congo où il avait démantelé un trafic de diamants organisé par Al Capone. Tintin est enlevé par ce dernier dès son arrivée.
Après avoir réussi à s’échapper et à les arrêter, il s’attaque à Bobby Smiles, le chef d’une bande rivale. La poursuite amène Tintin chez les « Peaux-Rouges » que Bobby Smiles a montés contre lui. Toujours vainqueur, Tintin capture le criminel et revient à Chicago. Il doit ensuite affronter un mafioso qui désire lancer sa tentative d’enlèvement. Lui aussi sera arrêté et Tintin quitte le pays après un défilé dans la rue bien digne des héros américains.
Tintin au Congo
Tintin au Congo (initialement Les aventures de Tintin, reporter du "Petit Vingtième", au Congo) est le deuxième album de bande dessinée des Aventures de Tintin d'Hergé, prépublié en noir et blanc du 5 juin 1930 au 18 juin 1931 dans les pages du Petit Vingtième, supplément du journal Le Vingtième Siècle. La version couleur et actuelle de l'album est parue en 1946.
L'histoire se déroule pendant l'époque coloniale. Dans le cadre de son travail de journaliste, Tintin, accompagné de son chien Milou, se rend en paquebot au Congo, la grande colonie belge de l'époque. Tom, un homme embarqué clandestinement sur le même bateau, va tenter plusieurs fois de le tuer une fois qu'ils seront arrivés à bon port.
Une suite de péripéties amène Tintin au royaume des Babaoro'm, où il devient le sorcier attitré. Il découvre que les hommes blancs qui veulent sa mort (notamment Tom) sont des gangsters affiliés à Al Capone, qui veut contrôler la production de diamants au Congo.
L'histoire se déroule pendant l'époque coloniale. Dans le cadre de son travail de journaliste, Tintin, accompagné de son chien Milou, se rend en paquebot au Congo, la grande colonie belge de l'époque. Tom, un homme embarqué clandestinement sur le même bateau, va tenter plusieurs fois de le tuer une fois qu'ils seront arrivés à bon port.
Une suite de péripéties amène Tintin au royaume des Babaoro'm, où il devient le sorcier attitré. Il découvre que les hommes blancs qui veulent sa mort (notamment Tom) sont des gangsters affiliés à Al Capone, qui veut contrôler la production de diamants au Congo.
Tintin au pays des soviets
Tintin au pays des Soviets est le premier album de la série de bande dessinée Les Aventures de Tintin, créée par Hergé, scénariste et dessinateur belge. L’histoire est prépubliée dans Le Petit Vingtième du 10 janvier 1929 au 8 mai 1930, puis publiée en album par les éditions du Petit Vingtième en septembre 1930[1]. L’histoire est également publiée dans Coeurs Vaillants à partir du 26 octobre 1930.
Cette première aventure est une critique virulente du régime bolchevique et communiste. Il s’agit d’une œuvre à part dans l’univers des Aventures de Tintin. Cette histoire sera la seule à rester dans son format original, en noir et blanc, et ne fera pas l’objets de diverses adaptations, contrairement aux autres Aventures de Tintin.
La trame de l’histoire se compose essentiellement d’innombrables péripéties dans lesquelles Tintin et Milou doivent se tirer de danger, entrecoupées de scènes ouvertement anticommunistes.
Lorsqu’il arrive à Moscou, devenue un « bourbier infect », Tintin constate que les dirigeants soviétiques forcent ses habitants au communisme, et que seuls les communistes parviennent à se sortir de la misère. Tintin s’engage dans l’Armée soviétique pour mieux en comprendre les manœuvres. Il s’enrôle au moment où son régiment s'apprête à dérober le blé des koulaks, les paysans riches, à des fins de propagande. Tintin réussit à cacher le blé mais est condamné à mort pour insubordination. En s’échappant, il s’enfonce dans les régions polaires, où le Guépéou envoie de nouveaux agents à sa poursuite.
Les péripéties se succèdent : Tintin entre dans une cabane hantée, qui s’avère être un repaire secret. Puis il s’enfuit en avion et revient malencontreusement en Allemagne, à l’aéroport de Tempelhof. Il est à nouveau repris par le Guépéou, mais est finalement sauvé par Milou. À l’auberge où il séjourne ensuite, un agent du Guépéou parvient presque à le capturer, mais Tintin le fait arrêter. Lorsqu’il réessaie de retourner en Union soviétique, estimant ne pas avoir recueilli assez d’informations, sa voiture dérape et il est projeté par une fenêtre dans un train qui les reconduit à Bruxelles, où ils sont accueillis en héros.
Cette première aventure est une critique virulente du régime bolchevique et communiste. Il s’agit d’une œuvre à part dans l’univers des Aventures de Tintin. Cette histoire sera la seule à rester dans son format original, en noir et blanc, et ne fera pas l’objets de diverses adaptations, contrairement aux autres Aventures de Tintin.
La trame de l’histoire se compose essentiellement d’innombrables péripéties dans lesquelles Tintin et Milou doivent se tirer de danger, entrecoupées de scènes ouvertement anticommunistes.
- Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Lorsqu’il arrive à Moscou, devenue un « bourbier infect », Tintin constate que les dirigeants soviétiques forcent ses habitants au communisme, et que seuls les communistes parviennent à se sortir de la misère. Tintin s’engage dans l’Armée soviétique pour mieux en comprendre les manœuvres. Il s’enrôle au moment où son régiment s'apprête à dérober le blé des koulaks, les paysans riches, à des fins de propagande. Tintin réussit à cacher le blé mais est condamné à mort pour insubordination. En s’échappant, il s’enfonce dans les régions polaires, où le Guépéou envoie de nouveaux agents à sa poursuite.
Les péripéties se succèdent : Tintin entre dans une cabane hantée, qui s’avère être un repaire secret. Puis il s’enfuit en avion et revient malencontreusement en Allemagne, à l’aéroport de Tempelhof. Il est à nouveau repris par le Guépéou, mais est finalement sauvé par Milou. À l’auberge où il séjourne ensuite, un agent du Guépéou parvient presque à le capturer, mais Tintin le fait arrêter. Lorsqu’il réessaie de retourner en Union soviétique, estimant ne pas avoir recueilli assez d’informations, sa voiture dérape et il est projeté par une fenêtre dans un train qui les reconduit à Bruxelles, où ils sont accueillis en héros.
Biographie de Hergé
Commencons par le commencement .... : La vie de Georges Rémi "Hergé"
Hergé, de son vrai nom Georges Prosper Remi (IPA : /ʀəmi/[N 1]) (né le 22 mai 1907 à Etterbeek et mort le 3 mars 1983 à Woluwe-Saint-Lambert, Belgique), est un auteur belge de bande dessinée francophone, principalement connu pour Les Aventures de Tintin.
D'abord dessinateur amateur d'une revue scoute, il signe ses planches du pseudonyme « Hergé » à partir de 1924. Quelques mois plus tard, il entre au quotidien Le Vingtième Siècle, dont il devient rapidement l'homme providentiel grâce aux Aventures de Tintin. Celles-ci débutent le 10 janvier 1929 dans un supplément du journal destiné à la jeunesse, Le Petit Vingtième. Importateur de la bande dessinée américaine à bulles, il est souvent considéré comme « le père de la bande dessinée européenne »[1].
Durant les années 1930, Hergé diversifie son activité artistique (illustrations de journaux, de romans, de cartes et de publicités), tout en poursuivant la bande dessinée. Il crée tour à tour Les Exploits de Quick et Flupke (1930), Popol et Virginie au pays des Lapinos (1934) et enfin Jo, Zette et Jocko (1935). En 1934, il fait la rencontre de Tchang Tchong-Jen, jeune étudiant chinois qui bouleverse sa pensée et son dessin. Après la Seconde Guerre mondiale, le personnage de Tintin lui confère une renommée européenne, puis internationale. En parallèle, il doit rendre compte d'accusations de collaboration avec l'ennemi pendant l'Occupation allemande et de dessins jugés parfois racistes, ce qui entache sérieusement sa réputation.
Durant les années 1950 et 1960, perfectionniste et visionnaire, il met au point une technique graphique dont il sera bientôt le chef de file : la « ligne claire ». Après des hommages internationaux et d'ultimes retrouvailles avec Tchang (1981), il meurt d'une leucémie en 1983. Depuis sa mort, il est considéré comme l'un des plus grands artistes contemporains et a vendu plus de 200 millions d'albums, traduits dans une centaine de langues. Aujourd'hui, l'œuvre d'Hergé est gérée par sa veuve Fanny Rodwell via la société Moulinsart et la Fondation Hergé.
Hergé, de son vrai nom Georges Prosper Remi (IPA : /ʀəmi/[N 1]) (né le 22 mai 1907 à Etterbeek et mort le 3 mars 1983 à Woluwe-Saint-Lambert, Belgique), est un auteur belge de bande dessinée francophone, principalement connu pour Les Aventures de Tintin.
D'abord dessinateur amateur d'une revue scoute, il signe ses planches du pseudonyme « Hergé » à partir de 1924. Quelques mois plus tard, il entre au quotidien Le Vingtième Siècle, dont il devient rapidement l'homme providentiel grâce aux Aventures de Tintin. Celles-ci débutent le 10 janvier 1929 dans un supplément du journal destiné à la jeunesse, Le Petit Vingtième. Importateur de la bande dessinée américaine à bulles, il est souvent considéré comme « le père de la bande dessinée européenne »[1].
Durant les années 1930, Hergé diversifie son activité artistique (illustrations de journaux, de romans, de cartes et de publicités), tout en poursuivant la bande dessinée. Il crée tour à tour Les Exploits de Quick et Flupke (1930), Popol et Virginie au pays des Lapinos (1934) et enfin Jo, Zette et Jocko (1935). En 1934, il fait la rencontre de Tchang Tchong-Jen, jeune étudiant chinois qui bouleverse sa pensée et son dessin. Après la Seconde Guerre mondiale, le personnage de Tintin lui confère une renommée européenne, puis internationale. En parallèle, il doit rendre compte d'accusations de collaboration avec l'ennemi pendant l'Occupation allemande et de dessins jugés parfois racistes, ce qui entache sérieusement sa réputation.
Durant les années 1950 et 1960, perfectionniste et visionnaire, il met au point une technique graphique dont il sera bientôt le chef de file : la « ligne claire ». Après des hommages internationaux et d'ultimes retrouvailles avec Tchang (1981), il meurt d'une leucémie en 1983. Depuis sa mort, il est considéré comme l'un des plus grands artistes contemporains et a vendu plus de 200 millions d'albums, traduits dans une centaine de langues. Aujourd'hui, l'œuvre d'Hergé est gérée par sa veuve Fanny Rodwell via la société Moulinsart et la Fondation Hergé.
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